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Je vais rondement bien

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25 octobre 2011

Mes petits rituels pour de beaux cheveux

Réaliser un shampoing, se sécher les cheveux, les brosser… La beauté de notre chevelure commence par des gestes simples. De bonnes habitudes méconnues, oubliées ou tout simplement sacrifiées pour cause d’emploi du temps trop chargé. Pourtant, pas besoin d’y passer des heures : voici cinq rituels express pour prendre soin de vos cheveux.

Elyane Vignau

 

Cent coups de brosse tous les soirs avant d’aller au lit, disaient nos grands-mères. Un jus de citron dans l’eau de rinçage après le shampoing, conseillaient nos mères. Et nous, que faisons-nous au quotidien pour la beauté de nos cheveux ? Nous multiplions shampoings et soins, en oubliant parfois que quelques gestes simples et de petites précautions suffisent à garder des cheveux sains, en quelques minutes chrono.

Non, nos grands-mères n’avaient pas tort ! Brosser nos cheveux avant le coucher ne présente que des avantages. Notamment celui de débarrasser la chevelure de la pollution et de tous les résidus qui sont venus la ternir et l’alourdir pendant la journée. Cela permet d’éviter également la formation d’épis disgracieux pendant la nuit.

Faut-il pour autant respecter le chiffre des 100 coups de brosse ? Pas forcément, l’exercice serait sans doute un peu fastidieux pour la plupart d’entre nous alors qu’un brossage consciencieux suffira. En revanche, inutile de ne s’en tenir qu’au soir : un long brossage tous les matins permettra aussi d’aérer la chevelure et de lui donner du volume pour la journée… Ce qui lui fait souvent précisément défaut après une nuit écrasée sur l’oreiller.

Cheveux longs, frisés, secs ? On mise sur une hydratation maximale ! A chacune de choisir sa méthode. La plus courante consiste à laisser poser un masque nourrissant après le shampoing une fois par semaine. Mais si l’on n’a pas envie – ou le temps – de s’attarder sous la douche, d’autres solutions s’offrent à nous. A commencer par ces soins quotidiens sans rinçage qui s’appliquent tous les matins comme une crème de jour pour cheveux.

Celles qui ne souhaitent pas s’y astreindre préfèreront peut-être recourir aux huiles qui, elles, font merveille avant le shampoing. Le mode d’emploi ? Avec un peigne, sur cheveux secs, on répartit quelques gouttes d’huile sur l’ensemble de la chevelure – pour les cheveux les plus déshydratés – ou juste sur les longueurs et les pointes – pour les cheveux plus gras. On laisse ensuite poser quelques minutes avant de passer sous la douche. Ou mieux, toute la nuit, les cheveux enroulés dans une serviette. Monoï, huile d’argan ou même huile d’olive : on peut choisir en fonction de ses goûts… Ou de ce qu’il y a dans son placard.

Savons-nous réaliser correctement un shampoing ? La question peut paraître ridicule tant nous sommes habituées à nous laver les cheveux régulièrement… et rapidement. Et pourtant, nous avons certainement des progrès à faire !Premier conseil : pendant le shampoing, on apprend à masser le cuir chevelu sans jamais le frotter. On insiste sur les zones clés – le sommet de la tête, au-dessus des oreilles et derrière la nuque – qui sécrètent plus de sébum et sont donc plus sensibles. Les petits massages circulaires, réalisés avec la pulpe des doigts, ont l’avantage d’activer en douceur la microcirculation sanguine. Résultat : les cheveux, mieux irrigués, retrouvent force et éclat. Mais attention, on évite absolument de frotter ou de gratter le cuir chevelu, ce qui ne ferait que l’irriter davantage.

Enfin, inutile de réaliser deux shampoings consécutifs, même si c’est souvent recommandé sur le flacon ! Mieux vaut suivre l’adage des coiffeurs - « Le premier shampoing lave, le second décape » - pour éviter de trop sensibiliser cuir chevelu et cheveux.

Contre les cheveux ternes, tout – ou presque – se joue au rinçage ! Premier réflexe, donc : les rincer toujours très minutieusement. Les restes de shampoing ou de soins sont les pires ennemis de leur éclat, en plus de les alourdir et de les rendre plus gras.

 

Pour leur apporter davantage de brillance, ensuite, rien ne vaut les astuces de nos grands-mères. A commencer par le jus de citron à ajouter à l’eau de rinçage une fois par semaine. Mais pas plus, pour éviter que l’acidité du fruit n’agresse les cheveux !

Les plus courageuses pourront également opter pour le vinaigre (de cidre de préférence) : un trait dans l’eau de rinçage rend effectivement les cheveux plus éclatants… A condition de tolérer l’odeur, pas forcément très agréable !

 Mais le plus simple – et le plus rapide – consiste à se rincer les cheveux systématiquement à l’eau froide (mais pas glaciale pour ne pas les rendre plus cassants). Le froid contribuera à refermer leurs écailles et à les faire paraître immédiatement plus éclatants.

 

Le dernier geste, tout aussi facile à mettre en œuvre, consiste à soigner le séchage de nos cheveux. A éviter à tout prix : les séchages brutaux – par manque de temps, combien d’entre les frottent très vigoureusement avec une serviette au risque de les casser ? – et les brushings trop réguliers qui les fragilisent d’autant que le sèche-cheveux est utilisé très chaud. La solution idéale ? Elle dépend des cheveux et de l’emploi du temps de chacune. Pour commencer, mieux vaut les enrouler en douceur dans une serviette. Les plus pressées, ensuite, opteront pour un séchage au sèche-cheveux. Pour que celui-ci soit le plus doux possible, on choisit une température moyenne (jamais la plus chaude), on n’approche jamais le sèche-cheveux à moins de 15 cm de la tête et on veille à ce qu’il soit toujours en mouvement.

L’alternative, le séchage à l’air libre, est effectivement plus douce mais c’est un luxe réservé à celles qui n’ont pas besoin de discipliner leur chevelure… et qui ont le temps. Car la principale précaution à prendre est de ne surtout pas sortir en ville avec les cheveux mouillés ! Ceux-ci sont en effet plus fragiles et plus exposés à la pollution qui s’y collera et les étouffera toute la journée. Avis donc aux plus pressées !

 

 

 

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25 octobre 2011

Se réconcilier avec son corps

Vivre en harmonie avec son corps, qui d’entre nous n’en rêve pas ? Pourtant, rares sont ceux qui y parviennent sur le long terme. Nous connaissons tous des états de grâce, suivis de pics d’insatisfaction, voire de rejet. Chef-d’œuvre ou prison, accessoire ou objet de culte, le statut que nous donnons à notre corps oscille souvent entre les extrêmes. Comment parvenir à établir un traité de paix un peu durable avec ce compagnon à la fois étranger et intime ?

La nature m’enseigne aussi par ces sentiments de douleur, de faim, de soif, que je ne suis pas seulement logé dans mon corps, ainsi qu’un pilote en son navire, mais outre cela, que je lui suis conjoint très étroitement et tellement confondu et mêlé, que je compose comme un seul tout avec lui », écrivait Descartes dans Méditations métaphysiques (Hatier, 2000). Nous sommes un corps autant que nous avons un corps. Il est totalement nous – sans notre corps, nous ne serions pas – et, en même temps, un objet que nous pouvons observer, évaluer et sur lequel nous pouvons agir.

Oublié quand il nous permet de vivre facilement notre quotidien, sujet d’inquiétude lorsque ses fonctions vitales sont enrayées, complice joyeux dans le plaisir, adversaire quand son apparence va à l’encontre de l’image que nous aimerions renvoyer, notre corps jouit d’un statut qui varie au gré des circonstances. Notre relation à lui est d’autant plus compliquée que l’on n’est plus forcé aujourd’hui de se résigner au corps que l’on a.

Modifier par la chirurgie esthétique ou les régimes ce qui est source de gêne ou de souffrance, travailler en thérapie sur les causes de notre malaise sont à la portée de – presque – tous. Mais, revers de la médaille, ces outils de libération peuvent aussi être des ferments de culpabilité. Car le discours volontariste sur le corps – « Je peux le transformer si je le veux » – renforce chez ceux qui nous rencontrent la croyance selon laquelle nous ressemblons à ce que nous sommes. Exigeant ou laxiste, dynamique ou paresseux.

On a toujours jugé les gens sur leur apparence. Notre corps fait fonction de carte de visite, de brevet de bonne ou de mauvaise conduite. Pour le sociologue David Le Breton, sociologue et anthropologue, « le corps n’est plus l’incarnation irréductible de soi mais une construction personnelle, un objet manipulable, susceptible de maintes métamorphoses selon les désirs de l’individu ». Des désirs façonnés par la culture qui prône sa libération tout en imposant des normes drastiques. « S’il existe un corps libéré, écrit-il encore, c’est un corps jeune, beau, physiquement irréprochable. » D’où ce risque croissant d’insatisfaction, de mépris, de dégoût de soi qui creusent toujours plus le fossé entre ce que nous sommes et ce que nous aimerions être.

Dès lors, nous réconcilier avec notre corps nous amène à faire montre envers lui, donc envers nous, à la fois d’indulgence et d’exigence. Indulgence pour l’accepter tel qu’il est, exigence pour modifier ce qui nous déplaît. Le discours sur la beauté intérieure a trouvé ses limites. On sait la souffrance d’un corps blessé par le regard de l’autre et par d’incessantes autocritiques. Aller sans crainte vers les autres exige que l’on puise en soi et dans son reflet suffisamment d’assurance. Mais on sait également que porter nos efforts uniquement sur la transformation extérieure ne fait que différer un face-à-face douloureux avec soi.

Pour le maître spirituel bouddhiste indien Swâmi Prajnânpad, la sagesse consiste en « une acceptation joyeuse de la réalité ». A ses disciples, il lançait : « Ce que vous êtes, vous l’êtes ! Acceptez-le avec tout votre être et pas seulement intellectuellement. » Il ne s’agit plus là d’une résignation fataliste, mais de l’acceptation de notre imperfection et de la conscience de notre précieuse singularité. Accepter son corps, c’est reconnaître en lui un héritage familial, une histoire et un parcours uniques. Se réconcilier avec lui, c’est affirmer notre autonomie et retrouver notre unité.

 

 

25 octobre 2011

Bientôt Halloween

A part de vouloir faire son déguisement (pas pour moi, je suis une piètre couturière), je vous conseilles d'aller faire un tour sur ce site : Festivéo, de nombreux choix de costumes a des prix assez abordable. 

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25 octobre 2011

EN HIVER, AJUSTEZ VOTRE ALIMENTATION !

Notre alimentation en hiver nous aide à combattre l'humidité et le froid, mais aussi la fatigue hivernale et la déprime. Faut-il manger davantage lorsqu'il fait froid ? Quels sont les aliments dont il faut se méfier et ceux que l'on doit privilégier ? Peut-on boire un petit verre d'alcool pour se revigorer ?

 

Quand il fait froid, est-il nécessaire de manger plus ?

 

Le froid ne doit pas être un prétexte à notre coup de fourchette. En effet, notre confort de vie (chauffage, transport…) ne nécessite pas de manger davantage lorsqu'il fait très froid. En revanche, nos envies diffèrent en période hivernale. Nous aspirons plus à des plats consistants et qui mijotent sur le feu. S'il ne faut pas s'en priver, il convient cependant d'ajuster nos menus en conséquence, et si nécessaire, en cas de soucis de poids, de diminuer les portions.

 

Quels aliments faut-il privilégier en hiver ?

 

Ce qu'il faut, c'est viser une alimentation équilibrée et pour cela toujours laisser une place suffisante aux légumes, cuits et crus, dont les potages et les crudités. N'oubliez pas également les fruits, par exemple sous forme de compotes ou de fruits secs, excellents pour leurs apports en vitamines, en fibres et en énergie. Les produits laitiers, aussi, doivent être bien dosés. Rappelons notamment qu'une portion de fromage par repas est suffisante, voire par jour. Il faut donc en tenir compte lorsque l'on prépare une quiche, ou toute autre préparation qui contient déjà du fromage… De la même façon, une portion par jour de viande, poisson, jambon ou oeuf, est suffisante, même en hiver. Bien entendu, toute l'année, les matières grasses industrielles cachées sont à consommer avec modération (beurre, crème…) et surtout les graisses cachées (viennoiseries, gâteaux, biscuits, plats industriels…).

Quant au petit verre d'alcool pour se réchauffer...

 

Certes, vin chaud, alcool fort, liqueur sont efficaces pour faire monter rapidement la température corporelle. En revanche, l'alcool a l'inconvénient de fatiguer l'organisme. En d'autres termes, le coup de fouet que va procurer l'alcool sera de bien courte durée. Cette technique est donc déconseillée. Mieux vaut se tourner vers les boissons chaudes : thécafé, tisane, lait chaud…

 

Article publié par Isabelle Eustache le 18/02/2008 - 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 05/11/2010 - 12:48

 

25 octobre 2011

Pourquoi ce blog ?

Tout d'abord pour dire aux femmes rondes que les dictats de la beauté changent.

Ce n'est pas un blog sur les régimes, ni un blog pro ou anti ….

Juste un endroit ou l'on retrouve de bonnes info sur tout ce qui nous entoures.

Cela peut aller des astuces modes en passant par des idées recettes ….

Un endroit ou tout le monde peut s'exprimer.

 

Pour ma part j'ai 35 ans, après une longue maladie qui ma fait prendre beaucoup de poids, je viens de faire un long parcours vers l'acceptation de mes rondeurs.

Je vous souhaites bienvenue ici chez vous pour partager nos expériences.

 

Bonne visite et @ très vite

Virginie  

 

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25 octobre 2011

Filets de limande farçies coquilles st jacques

au beurre de mandarine 
Recette Minceur
Recette Festive

 

Pour 4 personnes

1 filet de limande par personne soit 4 filets pour notre recette, et 4 noix de st jacques par personne, soit 16 pour notre recette, 3 mandarines, 2 belles c à soupe de beurre, 1c à c de maizena, sel, poivre, ciboulette

 

Coupez chaque filet en 2 sur la longueur.

Mettre une noix de st jacques sur chaque filet et enrouler, maintenez avec un pique et mettre dans un plat, qui va au four.

Il va vous restez 8 noix de st jacques que vous répartissez dans le plat autour des filets de limandes farçies.

Ajouter le jus d'une mandarine, salez légérement, poivrez à votre convenance. Mettre au four, à 200° durant 20 mns.

Pendant ce temps préssez, le jus des 2 autres mandarines, et mettre à chauffer doucement.
Délayez la c à c de maizena dans 2 càs d'eau.
quand le jus de mandarine commence à frémir, incorporez le beurre, et bien mélangez avec un fouet.
Laissez sur le feu doux en mélangeant quelques mns, puis incorporez, la maizena diluée et remuez bien, car votre sauce va s'épaissir un peu, salez et poivrez légérement.

Pour servir, disposez, vos filets de limandes et vos coquilles st jacques dans une assiette.
saupoudrez de ciboulette, et nappez de sauce au beurre mandarine.

 

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25 octobre 2011

Que veut dire bouger ?

Il est recommandé de se référer au repère : « au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide par jour  ». La marche est une activité facile à pratiquer pour un grand nombre de personnes, quelque soit l’endroit et l’âge.

Et pour les enfants, le PNNS ( Programme national nutrition santé) recommande même davantage : « au moins l’équivalent d’une heure de marche rapide par jour ». Mais pratiquer une activité physique, ce n’est pas seulement marcher, cela peut aussi être jardiner, danser, bricoler, jouer avec les enfants et bien sûr faire du sport.

 

Même si le repère est de 30 minutes par jour, rien ne vous oblige à les effectuer d’affilée. Vous pouvez très bien fractionner vos activités physiques en 2 séances de 15 minutes chacune voire même en 3 séances de 10 minutes.

La régularité est importante dans la pratique d’une activité physique : l’idéal est d’en faire tous les jours. Vous pouvez également compléter vos 30 minutes d’activité quotidienne par une activité plus soutenue le week-end.

L’important est de pratiquer régulièrement une activité physique pour se dépenser et entretenir ses muscles. En fonction de son intensité, l’activité sera plus ou moins longue.

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20 octobre 2011

Comment choisir un manteau quand on est ronde ?

 

par chrys27

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Vous avez les épaules carrées, une poitrine généreuse, une taille marquée, alors c'est l'idéal pour porter un manteau d'hiver de façon élégante. Le manteau cache les défauts pour souligner les atouts.

Optez pour un manteau clair au col assez ouvert si vous voulez mettre en avant la poitrine. Pour dissimuler des fesses, optez aussi pour un manteau clair avec un pantalon large ou un jean style flare afin d'allonger la silhouette.

Vous pouvez aussi optez pour une cape qui convient à toutes les silhouettes. Il faut surtout éviter les blousons courts du genre aviateur, les jeans slim ou à taille basse.
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9 octobre 2011

Affiner ses bras

 Le complexe : des bras ronds Quand le bras se fait un peu trop rond, il n'est pas évident de trouver des hauts qui masquent aisément ce complexe...

 Les conseils de Denise Houssard : 
"Evitez les hauts moulants qui ont pour seul effet de boudiner le bras. Qui plus est, porter des tee-shirts revient à couper le bras en deux, ce qui attire le regard sur cette zone de complexe. Je conseille plutôt aux femmes de privilégier les matières en voile, vaporeuses, avec des manches longues ou mi-longues. N'hésitez pas non plus à porter des épaulettes pour jouer avec la perspective et affiner l'allure."

9 octobre 2011

Sublimer son décolleté

 Le complexe : trop petite ou trop forte poitrine
Les petites poitrines se plaignent de ne pas pouvoir mettre en valeur leur décolleté, car rares sont les tops qui ont l'avantage de leur donner de l'ampleur. A l'opposé, les fortes poitrines regrettent de ne pouvoir trouver de hauts qui assument ces jolies rondeurs, sans les rendre vulgaires.

 Le conseil de Denise Houssard :
"Pour les petites poitrines, la première action est de porter des tee-shirts moulants avec un soutien-gorge pigeonnant pour donner du relief. Pour vos futurs achats, préférez les articles aux lignes horizontales, avec des petites fronces, des noeuds, des broderies ou encore des volants : cela apporte de la matière au décolleté. Je vous conseille également de porter des couleurs claires, qui reflètent la lumière.
Pour les fortes poitrines, il est nécessaire de privilégier les cols en V ou en U, sans trop de décoletté pour éviter le côté vulgaire. Les couleurs unies apportent un peu de neutralité, et pensez à jouer sur la verticalité en portant des bijoux allongés, type sautoir."

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